dimanche 1 juin 2014

Journal #4.2 - 01/06/14

 Mes sentiments se détachent peu à peu. Ils continuent de se meurtrirent, mais ça en devient presque rituel. Avant la fin. Le début. Je ne peux me soucier que de moi. Je redeviens extrêmement seul. Le processus sera encore douloureux, et bien que je ne me sente pas vraiment de dire que le pire est passé, je regagne confiance et je m'endurcis.

Je n'ai pas envie de revivre ces six derniers mois, mais je ne pense qu'à ça. Il me sera peut-être long de regagner cette tendresse... le jeu en vaudra de toute façon la chandelle. Quand ma déception se sera diluée, elle changera de couleur, et je grandirais encore. Une des raisons de mon espoir est que dans la vie, il n'y a pas de plafond de niveaux d'expérience. Pouvoir être conscient qu'on aura toujours le choix d'avancer et de progresser pour se rapprocher de soi-même et de la vraie complétude me comble d'aspiration.

 J'ai la chance d'avoir eu, d'avoir des amis. Je peine à m'exprimer sur le sentiment d'amitié. Pourquoi j'apprécie certaines personnes et pas d'autres ? Pourquoi comptes-tu pour moi ? Qui est tu ? Je ne recherche rien chez mes amis, mais j'y gagne toujours quelque chose. Suis-je honnête ? Est-ce que je réussis à être moi-même avec vous, est-ce que je vous montre une image qui me correspond ?

Merci d'être là pour moi aujourd'hui. Merci de grandir avec moi. Je veux être là pour vous.






 Tu danses comme le soleil... Perdu dans tes rayons... Ta chaleur attise mes larmes... 

 L'amour a pris possession, et les flammes de ta beauté entourent mon existence,

 Oh que ta lumière est belle... Noyé dans ton affection, j'étouffe dans mon euphorie...

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